Je dois écrire. Je ne sais pas pourquoi ou à qui je peux écrire. C’est un sentiment trop incommode. Je regarde le papier blanc. Il m'incite à écrire. Il me rapelle des promesses que j’ai faites. Je dois écrire cinq cents mots. Mais je n’ai pas des idées.
Je pense que j’écris pour échapper. Échapper de cette personne inconnúe qui ocuppe la salle, qui parle de chose que je ne comprends pas, ou qui me fait rapeller des moments que je veux oublier. Je ne veux pas penser à quoi je ne suis pas bien avec moi même, avec mon travail, avec le temps que je suis ici, avec mon amour et mon coeur.
Il y a beacoup de temps que j’ai desité des médecins (je ne comprends pas ce que vous voulez dire ici). Il me fait dormir. Je ne veux pas dormir. Je veux des bons sentiments. Et ils sont très dificile d'obtenir. La thérapie me fait bien, mais elle ne peut pas fair des magies.
J’aime ce que je fais. J’aime mon travail et mon chef. Mais je ne suis pas une partie de cela. Je ne m'identifie pas avec la personne que je suis au travail. Il est très compliquè d'expliquer, mais je sens que je suis à quelque place qui n’est pas pour moi. Je m’ennuye de l'ingénierie. La verité est que je n’ai jamais senti aussi confortable que dans la petite salle d’études de CCS. Où les personnes me paraissent comme moi où vivent les physiciens et les ingénieurs. Je souffre d'avoir l’abandoné. L'endroit le plus proche à ma maison. Je ne supporte pas cette situation. Je n’ai pas d’argent. Rien. L’unique chose que j'ai maintenant ici est la trauma de voyager à autre pais pour vivre quelques mois. Et la gloire. C’est fabuleux quand un professeur ou une autre personne me dit que me connait et que j’ai une réputation très bonne. Mais je ne sais plus si je peux conserver cette réputation. Je ne vois pas de la personne que j'ai connu quand je me regarde au miroir. La femme qui est là n’est pas très jolie, ni très bonne comme la personne me regarde.
C’est posible que tout ça est solement quelque chose que je pense et que n’est pas réel. Mais ma souffrance est très réel pour l'oublier.
Et pour ça je ne voulais pas trouvez personne. J’aime ma solitude, mon livre, parce qu'ils ne jugent pas et ne me quittent pas. Je les elige (je ne comprends pas ce que vous voulez dire ici) et je ne dois pas penser qu’ils vont m’abandonner. Ils sont fidèles et comprennent tout ce que j'espére de ses mots. Ils ne m'ont pas déçue autant que les gens de chair et de sang. Ils seron là, il peu importe ce que passe. Ils ne me demandent d'être quelqu'une autre.
Et cette anée j’ai découvert que je peux écrire et que écrire me fait me sentir bien. Il me fait sentir confidente. Aussi comme les livres, les mots que j'écris ne me demandent rien. Je peux les donner mon illusion et mes meilleures et pires pensées. Aussi comme ce que j'écris aujourd´hui.
Rettificato KISAM
Je dois écrire mais je ne sais pas pour quoi ou pour qui je pourrais ecrire. C’est un sentiment très frustrant. Je regarde le papier blanc, il m'incite à crire, il me rapelle la promesse que j'ai faite d'écrire cinq cents mots, mais je n’ai pas d'idees.
J'écris pour m'èchapper, échapper à cette persone inconnue qui s'occupe de la salle et qui parle de choses que je ne comprends pas ou qui me rappellent des moments que je veux oublier. Je ne veux plus penser que je me sens mal, mal dans ma peau, mal dans mon travail depuis le temps que je suis ici, aml avec mon amour et mon coeur.
Il y a beacoup du temp que j’ai desité de les medicin. Il me font dormir. Je ne veux pas dormir. Je veux les bons sentimments. mais ils sont très dificiles de obtenir. La thérapie me fait du bien, mais ne peu faire des miracles.
J’aime ce que je fais. J’aime mon travail et mon chef mais je ne fais pas partie d'eux. Je ne m'identifie pas aux personnes pour qui je travaille. C'est très compliqué de s'expliquer et je sens que je ne suis pas à ma place. Je m’ennuie de l'ingenieurie. La verité est que je ne suis jamais senti aussi bien que dans la petite salle d’études de CCS. Qui personne me paraitre aussi comme moi qui les phisiciens et les ingenieurs qui vivent lá. Je souffre pour l’abandoner. Le endroit plus proche de chez moi. Je ne supporte pas cette situation. Je n’ai pas d’argent. Rien. L’unique chose qui me maintient ici c'est la peur d'aller dans un autre pays pour vivre quelques mois. Et le gloire. C’est fabuleux quand un professeur ou une autre personne me dit qu'il me connait et que j’ai une très bonne reputation. Mais je ne sais plus si je peux conserver cette reputation. Je ne vois plus la personne qui je connais quant je me regarde dans un miroir. La femme que est là n’est tres jolie, ni très bonne comme la personne qui me regarde.
C’est posible que tout ça est seulement quelque chose que je pense et que ce n’est pas rel. Mais ma souffrance est très réelle pour oublier.
C'est pour cela que je veux plus rencontrer personne. J’aime ma solitude. Mon livre, parce que il ne me juge pas et ne me quitte pas. Je les elige et ne dois pas penser qu’ils vont m’abandonner. Il est fidèle et comprend tout ce que j'éspére à travers mes mots. Ils ne m'ont pas déçue autant que les gens de chair et de sang. Ils seront lá, peu importe ce qui se passe. Ils ne me demande rien.
Cette année, j’ai decouvert que je peux écrire, et écrire me fait du bien. Me fait sentir confident. Aussi comme les livres, les mots que j'écris ne me demandent pas beaucoup d'effort. Je peux exprimer mes désillusions, le meilleur et le pire de mes pensées. Aussi comme ceuxs que j'écris aujourd´hui.