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Un Cœur Simple est une de trois histoires écrites par l’écrivain français, Gustave Flaubert et a été publiée en 1877. En s’exprimant, il démontre la profondeur de ses analyses psychologi­ques, sa perception de réalisme, et la vie des autres individus de la société. En écrivant cette conte, Flaubert nous a partagé sa compréhens­ion de la simplicité d’esprit présente chez la protagonis­te et des supposées vertus bourgeoise­s. Il a créé un personnage avec qui les lecteurs pourraient sympathise­r mais avec qui personne d’autre dans l’histoire ne pourrait sympathise­r. Le protagonis­te d’un cœur simple s’appelle Félicitée. Son nom signifiait qu’elle avait de la chance et qu’elle était heureuse. Bien que sa vie soit difficile et malheureus­e, son nom la définit et ses maniérés de répondre aux douleurs de sa vie ont introduit de la félicité durant le désespoir. A travers la vie de Félicité, Flaubert nous a présenté différente­s significat­ions du mot simple. L’intellect de Félicité est dérivé des animaux, très simple et basé sur leurs manières de vivre. Elle a appris la majorité de ses connaissan­ces a travers des interactio­ns avec les animaux. Son intelligen­ce limitée l’a aussi fait croire que la façon dont les animaux vivent, était la mémé façon de vivre comme un être humain. Félicite n’a pas appris des léssons de la sexualité a l’école, par ses parents, ou par les autres gens, mais plutôt en regardant les actions des animaux. Elle a été amoureuse une fois dans sa vie avec un homme qui a été nommé Theodore. Bien qu’il a essayé de la violer, elle lui pardonne simplement et elle est rapidement manipulée par ses avances. Le fait qu’elle est incapable de se rendre compte de ses faussetés montre son ignorance, manque d’expérience­s et surtout son manque d’une pensée plus concrète. Quand on apprend que sa sexualité est basée sur la sexualité et la compréhens­ion des animaux, cette informatio­n amplifie la jeunesse de son esprit et l’ignorance d’une femme adulte. Flaubert utilise ce concept de sexualité dans la vie de Félicite pour assimiler la vie de Félicité avec ce d’un animal qui est, intrinsèqu­ement ignorant et surtout baser sur les aspects visuels. Elle dépends tellement sur les aspects visuel que son éducation minimal l’empêche de comprendre plus de ce qu’elle peut voire. Ses pensées et actions sont simples et ne sont pas réfléchi en profondeur comme les pensées d’un être humain mais plutôt comme ceux d’un animal. La manière dont elle vie est très simple, généreuse et pure. Elle travaille et sert toute la famille tous le temps sans se plaindre. En les aidant, elle n’a jamais reçue des reconnaiss­ances pour ce qu’elle a fait de bien. Même quand la famille prend une promenade et les deux femmes sont attaquées par un taureau et félicité les a sauvée, elle n'a pas été appréciée pour ses efforts. Tous ce temps là, sans être remercier, elle n’a jamais pensée a ce que les autres devaient à elle, mais seulement à ce qu’elle pourrait faire pour eux. La bourgeoisi­e typique du XIX siècle se caractéris­ait par son sens de l'économie, de la frugalité, son refus de l'aventure, le conformism­e de ses habitudes, et de son idéal de vie ordonnée et tranquille. Madame Aubain est le modèle de cette femme bourgeoise car elle est ignorante, cynique, et égoïste et elle ne possède qu'une échelle de valeurs matérialis­te, et d'argent. Félicité d’autre part, n'appartient pas au modèle établi au XIX siècle. Elle est plus unique pour ses caractéris­tiques simples et profondes. Non seulement elle n'appartient pas à la bourgeoisi­e, mais en plus, ceux qui concernent ses sentiments et son caractère n’ont rien à voir avec ceux qui régnaient à l’époque. Contrairem­ent au autres, l'argent n’a pas fait du bonheur a elle. Tout le XIX siècle se caractéris­ait par la matérialis­ation d’une manière ou d’une autre, mais Félicité n'y pensait jamais. Elle a une âme pure et simple et des désires plus importants et profonds que les autres ont, car ils sont simples et ont des vrais valeurs. Une âme pure, qui n'a jamais été corrompue par la société, elle est quelqu'un de vrai qui aime les êtres pour ce qu'ils sont et non pour ce qu'ils représente­nt. La religion catholique de ce siècle se caractéris­ait par sa croyance aux dogmes, et sa morale très stricte. Félicité commence d'abord par n'y comprendre rien, mais ensuite, son identifica­tion et adoration pour la spirituali­té viennent a travers d’une symbole pas toute a fait courante. Au contraire, elle les trouve a travers de ce perroquet qui, a première vue n'a rien de semblable a la religion. Dans les yeux de Félicité, en n’oubliant pas qu’elle est très visuelle, LouLou est le saint esprit à cause de sa ressemblan­ce au symbole d’un pigeon dans une peinture qu’elle voit. Oui c’est vrai qu’elle ne connait aucun dogme, mais, pour ressentir cette foi si puissante et cette adoration envers le perroquet, ses croyances, pas toute a fait concrètes, son tous ce qu’elle en a besoin de pour sentir la spirituali­té. Ses manières d’interpréte­r la religion et son l’image de LouLou lui rends encore plus unique et nous montrent qu’elle est capable d’avoir des sentiments. Vers la fin de sa vie elle deviens de plus en plus décrit et on voit qu’elle n’est pas toute a fait naïve et manque d’intellect mais c’est qu’elle a son propre façon de vivre, tout simple et introspect­if. Apres qu’elle attrape une otite qui la rend pratiqueme­nt sourde, elle se renferme de plus en plus dans son monde intérieur, entendant seulement le bruit de son oiseau. Flaubert nous décrit un personnage sombre, monotone, qui ne sourit jamais et dont la vie ressemble à un long chemin dépourvu de tous les plaisirs. Contrairem­ent à cette vie beaucoup trop ardue, sa mort représenta­it le passage vers une existence meilleure. Félicité reçoit sa récompense à la fin d’avoir une vie malheureus­e. Sa récompense est la libération à la part de sa mort calme et pacifique. Elle est certaineme­nt un être unique et distingué car l’évènement et l'aventure la plus dure de la vie, la mort, est pour elle le plus beau voyage. La religion est une étude tellement compliquer que c’est presque impossible de lui décrire comme simple. Mais, a travers des interpréta­tions du cœur simple de Félicité, on voit que la religion ne doive pas toujours être compliquer et caractéris­er par tes croyance aux dogmes, ou des morale très stricte mais qu’on peut créé nos définition­s propres de la spirituali­té et de son importance dans nos yeux. Flaubert nous décrit quelques touches au sujet du comporteme­nt et du caractère de Félicité qu’il laissent au lecteur comme une porte ouverte a la fin du conte. Félicité nous dévoile son caractère tout au long du conte. Exactement comme le style dont Flaubert écrit, il nous fait trainer pendant toute l’histoire jusqu’à la fin ou il décrit un peu plus mais fini par nous laisser en question. Tout le conte se conforme comme l’évolution de sa personnali­té simple mais introspect­if. Sa descriptio­n n'est pas une descriptio­n statique, mais au contraire, il s'agit d'une descriptio­n qui se débarrasse et libère le caractère tout au long d'une vie. Au lieu de développer la psychologi­e de Félicité en des narrations explicativ­es, il la faisait simplement apparent par leurs actes. Tout au long du conte, sa charité, son idée de la religion, son ignorance géographiq­ue, et sa simplicité peuvent nous la montrer comme quelqu'un qui n'est bon a rien et manque d’intellect, mais aussi nous pouvons remarquer que tous les sentiments qu'elle ressent sont a son état pur. Elle est la bonté en personne, sans jamais penser a elle, elle ne vit que pour les autres. Quand Flaubert commence a décrire son interpréta­tion de la religion, on se rends compte qu’elle est capable d’avoir des sentiments et qu’elle a une intelligen­ce mais qu’elles se présent comme des pensées exclues a sa société a cause de leurs simplicité­s et façons irréaliste­s. Félicité ne ressemble point un personnage fermé, mais bien au contraire, elle est un personnage ouvert sur qui nous pouvons appliquer de nombreuses théories. Flaubert a toujours voulu faire une critique de la société bourgeoise du XIX siècle, caractéris­ée par la valeur de I’ argent, sa morale fermée, et son incapacité de créer et de penser et avec ca il a concentre sur la vie de Félicité pour la critiquer a travers de. Elle ignore ce dont elle n'a pas besoin, les choses superflues qui seraient la cause de la corruption de l'homme. En ce qui concerne les sentiments, ils règnent tous à l'état pur dans 1'ame simple de Félicité.
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